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    Meilleurs voeux de paix, de bonheur, d'amour et de santé pour une bonne et heureuse année 2017

     

    (Merci aux Villejuifois-es qui ont laissé une trace ephémère du passage à la nouvelle année, un message à tous celles et ceux qui sont passé-e-s dans le parc des hautes bruyères en ce 1er janvier 2017.)

     


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  • Lors du Conseil Municipal de vendredi 14 octobre, le Maire de Villejuif a confirmé sa volonté de fermer l'école maternelle Karl Marx.

    NON à la FERMETURE de l'école maternelle Karl Marx!

    L'équipe enseignante, les parents d'élèves, le personnel communal ont depuis longtemps demandé des informations sur cette rumeur qui s'avère devenir une réalité. 

    Aucune réponse ne leur a été donnée.

    C'est inacceptable!

    Les parents, les enseignants, les agents s'opposent à la fermeture de l'école maternelle Karl Marx, ils se mobilisent.

    Ci-dessous leur communiqué et pour ceux qui le peuvent RDV demain matin à 10H à Créteil.  

    "Monsieur le Maire répondez-nous ! L'école maternelle Karl Marx ne doit pas fermer à la rentrée prochaine!


    Les parents, les enseignants et le personnel communal sont inquiets pour l'avenir de l'école. Depuis plusieurs années le Conseil d'école demande au Maire de garantir le maintien de l'école maternelle Karl Marx qui, depuis dix ans, scolarise dans ses effectifs en moyenne 15 élèves de 2 ans chaque année.


    Nous savons que l'année dernière l'hypothèse de la fermeture totale de l'école a été envisagée et des travaux urgents nécessaires à la sécurité des élèves dans la cour de récréation demandés depuis juin 2016 ne sont pas toujours réalisés!
    Aux représentants des parents de l'école qui lui demandaient si la mairie avait décidé de fermer l’école à la rentrée prochaine, une élue municipale a répondu qu'elle ne pouvait répondre sur le dossier et qu'elle informerait les parents d'élèves si cela s'avérait nécessaire. A plusieurs reprises le directeur de l’école a interrogé le maire. Aucune réponse.


    Nous nous interrogeons : pourquoi le maire ne répond-il pas aux parents et au directeur de l'école ? La fermeture de l'école à la rentrée prochaine aurait-elle été décidée à l'insu des parents et de l'équipe éducative ?


    Nous ne pourrions pas accepter une telle mesure qui amènerait inévitablement les familles du quartier à scolariser leurs enfants dans des écoles éloignées, surchargées et surtout compromettrait la scolarisation des enfants de deux ans du secteur Karl Marx situé en Zone d' Éducation Prioritaire.
    La fermeture de l'école impliquerait l'éclatement de l'équipe enseignante et municipale qui, au sein d'une structure à taille humaine (5 classes), a su privilégier le lien avec les familles et développer un climat de bienveillance et un savoir-faire reconnu par tous dans l'accueil des deux ans si bénéfique à la réussite scolaire des élèves. 


    La fermeture de l'école impliquerait aussi la disparition de ces moments festifs, si important dans la vie du quartier, que sont le carnaval de printemps et la fête de fin d'année qui accueille plusieurs centaines de participants, enfants et parents, chaque année.
    C'est pour ces raisons, pour préserver l’existence de leur école, que l'ensemble des enseignants de la maternelle seront grévistes le lundi 17 octobre 2016 et se rendront avec leurs organisations syndicales, les parents et leurs représentants élus à la préfecture du Val de Marne ou se tiendra à 10h le Conseil Départemental de l’Éducation Nationale de rentrée en présence du préfet pour exiger ensemble :

    L'école maternelle Karl Marx ne doit pas fermer à la rentrée prochaine !
    Pour vos enfants, pour nos élèves soyons nombreux à la préfecture de Créteil lundi 17 octobre à 10h
    21 Avenue du Général de Gaulle, 94000 Créteil 
    L’équipe enseignante de l’école maternelle Karl Marx. Les représentants élus des parents d'élèves"

     


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  • Vous trouverez ci-dessous une tribune, parue dans le journal l'Humanité,  de plus de 40 élu(e)s locaux Front de Gauche pour défendre les chartes passées avec les promoteurs.

    Non obligatoires, ces accords, signés par les constructeurs, fixent des règles à respecter pour toute nouvelle opération de construction. Cela va de l'imposition de plafonds de prix, à la détermination d'un niveau de confort, des performances énergétique, voire même le niveau de la qualité architecturale du bâtiment. Ces initiatives ont été violemment attaquées par la Fédération des Promoteurs immobiliers et le préfet d'Ile-de-France, qui les  juge "illégales" et estime qu'elle vont freiner la construction en imposant de nouvelles normes aux acteurs de la construction. 

    La municipalité de Gauche à Villejuif avait mis en place une telle charte (charte de l'habitat / construction neuve) lors de l'adoption du PLU mais la droite, dès son élection, a remis en cause cette charte qui participait à continuer de construire une ville de Villejuif Pour Tous.

    "Chartes promoteurs : c’est le droit à la ville pour tous que nous défendons !

    Logement public, logement social, logement en accession à la propriété, habitat coopératif… nous sommes élu-e-s de communes qui prennent largement leur part à l’effort de construction de logements pour contribuer à l’émergence d’une métropole solidaire. Mais construire ne suffit pas, il faut aussi savoir préserver l’avenir et donc imposer certains garde-fous là où, malheureusement, l’Etat semble avoir capitulé. C’est le sens des « chartes promoteurs » qui encadrent l’action des acteurs de l’immobilier sur nos territoires.

    Etonnamment, cela semble déplaire : au mois de mai, la puissante Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) s'est fendue d’un réquisitoire à charge contre les villes qui imposent certaines prescriptions encadrant la construction immobilière. M. le Préfet de Région, peu après, a également désapprouvé ces chartes. Nous invitons le représentant de l’Etat à faire strictement appliquer la loi dans les villes où les maires refusent le logement social ou à nous aider à financer les logements et équipements publics que nous construisons, plutôt que de s’attaquer à ceux qui sont les plus mobilisés pour le droit au logement.

    La FPI a raison sur un point : alors que l’on compte en Île-de-France 600 000 demandeurs de logement social et près d’un million de mal-logés, alors qu’un ménage sur cinq consacre plus de 40 % de ses revenus à se loger, alors que les prix affolants de l’immobilier contraignent de nombreuses familles à s’éloigner toujours plus loin de Paris… il devrait revenir au législateur d’encadrer le prix du foncier, la construction immobilière et sa gestion, tant ces derniers sont devenus déraisonnables, et par là même, excluants.

    Nous, maires et élu-e-s chargé-e-s du développement urbain, refusons de laisser libre cours aux seules lois du marché et de la spéculation immobilière et foncière, car celles-ci condamnent des millions de personnes à d’inacceptables difficultés pour accéder à un logement digne et financièrement accessible et renforcent les inégalités territoriales. L’inaction de l’Etat et pire, sa complaisance vis-à-vis de ceux qui prônent une libéralisation totale du secteur, n’est pas acceptable. Nous le constatons tous les jours sur le terrain : les files de demandeurs de logement social qui ne cessent de s’allonger, les marchands de sommeil qui exploitent la misère humaine, la prégnance de l’habitat indigne, les sommes exorbitantes consacrées au logement au détriment de tout le reste, les heures de transport pour se rendre sur son lieu de travail…

    Aussi, tel est l’objectif de ces chartes que nous assumons pleinement : garantir que les logements en construction dans nos territoires respectent des règles non seulement de qualité mais aussi d’accessibilité au plus grand nombre. Ces chartes sont un outil pour développer nos villes de façon équilibrée, sans céder aux sirènes du tout logement ; pour rendre obligatoire la concertation avec les habitants, garantie de projets élaborés démocratiquement ; pour contrer la spéculation foncière, en obligeant les promoteurs à pratiquer des prix maîtrisés ; pour permettre aux habitants de nos villes, notamment les jeunes, et aux salariés qui y travaillent d’y rester et d’y construire leur avenir ; pour s’assurer de l’ambition environnementale ou de la qualité intérieure des logements ; pour donner à la culture toute sa place dans la fabrication de la ville…

    Alors que la métropole parisienne est l’une de celles où les loyers sont les plus chers d’Europe, que notre région Île-de-France est à la fois l’une des plus riches et l’une des plus inégalitaires, que les enjeux liés au changement climatique se concentrent en grande partie dans les grandes villes, notre action est légitime et juste !

    Alors oui, sans doute nos chartes obligent-elles les promoteurs à rogner quelque peu sur leurs profits et les spéculateurs à rebrousser chemin. Mais elles permettent à nos villes de se développer tout en restant populaires et accessibles à tous. Et c’est bien là le sens de notre combat quotidien d’élu-e-s engagé-e-s pour le droit à la ville et le droit au logement pour tous.

     

    Signataires

    Max Staat, adjoint au maire d’Arcueil, chargé du développement et renouvellement urbain

    Meriem Derkaoui, maire d’Aubervilliers

    Sylvère Rozenberg, conseiller municipal d’Aubervilliers, délégué à l’urbanisme

    Marie-Hélène Amiable, maire de Bagneux

    Yasmine Boudjenah, 1ère adjointe à la maire de Bagneux, chargée de l’aménagement et du développement durables

    Patrick Douet, maire de Bonneuil

    Dominique Adenot, maire de Champigny

    Christian Fautré, 1er adjoint au maire de Champigny, chargé de l’aménagement

    Stéphanie Daumin, maire de Chevilly-Larue

    Didier Guillaume, maire de Choisy-le-Roi

    Patrice Diguet, 1er adjoint au maire de Choisy-le-Roi, chargé

    Jean-Philippe Gautrais, maire de Fontenay-sous-Bois

    Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers

    Anne-Laure Perez, 1ère adjointe au maire de Gennevilliers, chargée de l’urbanisme et de l’aménagement

    Patricia Tordjman, maire de Gentilly

    Patrick Daudet, 1er adjoint à la maire de Gentilly, chargé de l’aménagement

    Philippe Bouyssou, maire d’Ivry-sur-Seine

    Romain Marchand, 1er adjoint au maire d’Ivry-sur-Seine, chargé du développement urbain

    Gilles Poux, maire de La Courneuve

    Mélanie Davaux, conseillère municipale de La Courneuve, déléguée au droit des sols et au PLU

    Jacqueline Belhomme, maire de Malakoff

    Serge Cormier, 1er adjoint à la maire de Malakoff, chargé de l’aménagement

    Charlotte Blandiot-Faride, maire de Mitry-Mory

    Marianne Margaté, adjointe à la maire de Mitry-Mory, chargée de l’aménagement

    Patrice Bessac, maire de Montreuil

    Gaylord Le Chequer, adjoint au maire de Montreuil, chargé de l’aménagement durable

    Patrick Jarry, maire de Nanterre

    Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris, chargé du logement

    Jacques Baudrier, conseiller délégué à la maire de Paris, chargé de l’architecture et des grands projets de renouvellement urbain

    Francis Combrouze, adjoint au maire de Paris XIIIe, chargé de l’urbanisme

    Hélène Vicq, adjointe à la maire de Paris XXe, chargée de l’urbanisme

    Patrick Braouezec, président de Plaine Commune

    Didier Paillard, maire de Saint-Denis

    Stéphane Peu, adjoint au maire de Saint-Denis, chargé de l’aménagement

    Azzédine Taïbi, maire de Stains

    Olivier Mathis, 1er adjoint au maire de Stains, chargé de l’urbanisme

    Françoise Baud, maire de Valenton

    Sylvie Altman, maire de Villeneuve-Saint-Georges

    Jean-Claude Kennedy, maire de Vitry-sur-Seine

    Michel Leprêtre, adjoint au maire de Vitry-sur-Seine, chargé de l’aménagement, président de l’EPT « Grand-Orly Val-de-Bièvre Seine-Amont »"


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  • A l'entrée du parc Pablo Neruda, au coeur même des Villejui'fêtes, la contestation villejuifoise se faisait entendre... 

      Une fête de la ville aux couleurs de la contestationUne fête de la ville aux couleurs de la contestation Une fête de la ville aux couleurs de la contestation

    Une fête de la ville aux couleurs de la contestation

    Une fête de la ville aux couleurs de la contestation

     

     

     

    En effet, depuis l'annonce par le Maire et son adjointe d'exclure plusieurs associations à la fête de la ville, les associations de Villejuif se sont organisées afin de faire entendre leur voix auprès de la population villejuifoise.

    C'est ainsi que l'on pouvait croiser les militants associatifs du Mouvement de la Paix, d'ATTAC, de VillejuifSansTAFTA, Les amis de l'Huma, de l'Association France Palestine Solidarité, et de bien d'autres associations solidaires dans les allées de la fête avec un tract dénonçant la discrimination dont ils sont victimes.

    Une fête de la ville aux couleurs de la contestation

     

     

    Les associations n'étaient pas les seules à revendiquer en ce samedi 4 juin, les employés de la ville de Villejuif se faisaient aussi entendre via leur "tract à la population" alertant ainsi sur la dégradation du service public local.

    Ludomobile, fêtes d'écoles ou de quartiers, centre de santé, annexe Mairie, accueils de loisirs, Maison Pour Tous, médiathèque, conditions de travail des agents... la liste est malheureusement bien longue et ne cesse de s'agrandir au fil des Conseils municipaux et des votes du budget municipal.

    Une fête de la ville aux couleurs de la contestation

     

    Rendez-vous est donc pris le mercredi 15 juin à 13h30 devant la mairie de Villejuif pour exiger du Maire et de ses élus qu'ils prennent les décisions qui permettent de garder un service public de qualité, moderne et capable de répondre aux besoins des Villejuifoises et des Villejuifois.


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  • Calvaire, chasse aux sorcières, harcèlement, mise au placard, surveillée, convoquée, déglinguée,humiliée, ecoeurée, brisée, malaise...

    Les mots utilisés le 26 avril dans un article du Parisien par les quatre employées de la ville de Villejuif sont durs et violents pour dénoncer ce qu'elles subissent au quotidien et qu'elles nomment discrimination en raison de leurs opinions politiques.

    Ce n'est pas la première fois que de tels actes sont dénoncés, déjà le 31 mars le blog "Villejuif pour TOUS" se faisait le relais de la lettre ouverte à l'attention du Maire de Villejuif du syndicat CGT des territoriaux. 

    Depuis une seule réponse avait été faite, celle de l'adjointe au Maire en charge du personnel, qui parait-il, découvrait cette injustice, alors que deux des employées indiquaient qu'elles avaient porté plainte dès Août 2015!!!

    Aujourd'hui, ce sont 17 élus de la majorité qui signent un communiqué de presse calomnieux portant atteinte à tous les agents municipaux qui tous les jours travaillent pour l'intérêt général et les besoins des Villejuifois.

     

    Qui sont les employés communaux de Villejuif?

    Des privilégiés? Et non mon bon monsieur, des femmes et de hommes comme nous qui n'ont pas de compte en Suisse et dont le nom n'apparaîtra pas dans le scandale des "panama papiers".

    Les agents municipaux ce sont ceux qui participent à la vie de notre ville : l'animatrice ou l'animateur qui accueille les enfants dès 7h du matin et jusqu'à 18h30 le soir, l'aide ménagère qui se rend deux à trois fois par semaine chez les personnes âgées, l'agent d'entretien des voiries qui ramassent les innombrables papiers jetés par terre, le ou la  jardinier(e) qui fleurit la ville, l'auxiliaire puéricultrice qui s'occupe des touts petits, l'agent d'accueil du service actions sociales qui calcule le quotient familial ou instruit l'Allocation Personnalisée d'Autonomie, l'agent administrative qui vous reçoit pour votre carte d'identité ou votre passeport, l'agent de service qui nettoie la classe de votre enfant, l'éducateur sportif qui prépare les stages sportifs pendant les vacances, le bibliothécaire qui vous accompagne et vous conseille ..... et puis tous ceux qu'on ne voit pas, de l'employé au cadre, qui travaillent pour que les services de la ville fonctionnent.

    Alors pourquoi tant de haine contre les agents municipaux?

    Pour certains, un choix politique délibéré de réduire le nombre de fonctionnaires municipaux afin d'en finir avec le service public territoriale et enfin assouvir cette fâcheuse envie de déléguer au privé!

     

    Pour d'autres, simplement la conséquence de vouloir tout tenir, d'être le patron, d'avoir le pouvoir de faire, de donner ou non. (Lire le rapport sur le harcèlement professionnel d'un ingénieur territorial L.Boghossian).

     

    Petit rappel rapide des droits qui protègent les salariés 

     

     

     

     

     

     

    Le service public local est le bien commun de la population, nous devons le préserver, le développer, le moderniser et respecter les femmes et les hommes qui le font vivre au quotidien, c'est une question d'égalité et d'accès aux droits pour toutes et tous!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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